Les 26-27-28 août, Château-Gontier en Mayenne (53) se tenait la seconde édition du V and B Fest.
Grosse montée en puissance pour cette édition avec 3 scènes, une affiche moderne et éclectique et des têtes d’affiches renommées : la prise de risque était grande.
Et pourtant, dès notre arrivée le dimanche midi, nous avons fait la rencontre d’un festival parfaitement organisé, depuis l’accueil jusqu’à la sortie, toutes les cases étaient cochées.
Parlons du sujet qui fâche en festival : les sanitaires. Tout était plutôt fonctionnel et propre ; le public respectueux et organisé. Impeccable ! Les stands de nourriture plutôt divers avec plusieurs options végés sont plutôt bien répartis et accessibles malgré la foule.
Le clou du spectacle se situait face scène avec de monumentaux bars à alcool, et une reproduction taille réelle de Notre Dame de la Débauche, entièrement dédiée à la brasserie d’Angoulême.
Au fond de la 3e scène, un bar avec plein de refs de brasserie craft, de la P’tite Maiz’ à Brique House, il y en avait pour tous les goûts. Évidemment les prix des bières restaient un peu élevés, mais cela reste compréhensible dans ce contexte.
Pour finir, les concerts ! On a eu l’occasion de voir les incroyables Pogo Car Crash Control enflammer le début d’après-midi avec le punk moderne. Ensuite, Ultra Vomit ont fait marrer une bonne partie du public. Georgio s’est lâché sur la mainstage 2, accompagné d’un batteur et d’un guitariste. Et enfin Vald a foutu le feu à un public jeune, alcoolisé et gonflé à bloc.
Un sans faute pour nous sur cette édition, inscrivant très clairement le V and B Fest dans les incontournables de l’été en France. On a hâte d’y retourner.
→ Nous remercions les copains des Bières Tchèques pour l’invitation.